C’est en effet le 27 mars 2020 que le groupe de sénateurs et de députés membre du collectif des parlementaires culturels de la république démocratique du Congo ont décidé d’introduire un plaidoyer afin que la rumba fasse partie du patrimoine universel de l’UNESCO.

Il faut dire ici que cette demande a pour but ici de vulgariser ce genre musical et aussi de la protéger d’éventuelles transformations qu’elles pourraient en subir. La rumba ne serait pas le seul rythme à y être car déjà en 2018, après plusieurs combats, le reggae tant bien que controversé avait aussi été inscrit dans cette liste.
Cette réponse tant attendue pourrait donc aboutir d’ici le mois de décembre prochain après une réunion des différents chefs d’Etat au sein de cette organisation.

Ce serait un vrai honneur pour tous les artistes congolais qui ont contribué à l’émergence de ce rythme mythique du Congo. De l’ancienne à la nouvelle génération.
En guise de prévision à une éventuelle réussite, de nombreux concerts sont déjà prévus dans les grandes métropoles comme Paris, Kinshasa, et Brazzaville. Un projet de 5 ans est également mis en place pour la sauvegarde et la promotion de la rumba dans les deux Congo.