LA SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
« Le Congo n’a jamais “trouvé” qui que ce soit sur ses terres. Le Congo est chez lui, depuis toujours. Ce ne sont pas les propriétaires qui doivent partir, mais ceux qui, par le mensonge et la violence, tentent d’usurper ce qui ne leur reviendra jamais.
On peut piller ses richesses, tracer des frontières avec du sang, brûler ses villages, massacrer son peuple… mais on ne tue pas une nation.
L’Histoire a toujours rattrapé ceux qui se croyaient intouchables. Et ce jour viendra. »
Ce post fait suite aux propos de Bertrand Bisimwa, qui a déclaré : « Si le Congo ne veut plus de nous, qu’il parte et nous rende nos terres. Le Congo nous a trouvé sur nos terres, lorsqu’on a créé le Congo en 1885, nous étions sur notre sol. Si le Congo ne veut plus des Baswahili, le Congo doit partir et nous laisser nos terres. Si le Congo ne veut plus des Batutsi dans cet espace où ils étaient, le Congo doit partir et leur laisser leur terre. »
Grace Kutino critique fermement ceux qui, selon elle, utilisent la violence et le mensonge pour s’approprier ce qui ne leur appartient pas. Elle souligne que, malgré les pillages, les massacres et les destructions subis par le Congo, l’âme de la nation reste indestructible. Elle rappelle que l’Histoire finit toujours par rattraper ceux qui se croient au-dessus des lois, et prédit que justice sera rendue.
Son message est un appel vibrant à la résilience et à la fierté nationale pour le peuple congolais, tout en dénonçant les tentatives de déstabilisation et d’appropriation illégitime des terres congolaises.